Laissez-vous bercer par la musique

- temps de lecture approximatif de 2 minutes 2 min - par Civodul

Le sommeil a-t-il, certains soirs, du mal à vous trouver ? Rien de tel qu'un peu de musique pour s'abandonner aux bras de Morphée. Nous vous proposons une mini play-list multi-genres pour vous endormir en douceur.

 

  • Berceaux (et vaisseaux), bercements (mais arrachements) avec la poignante mélodie de Gabriel Fauré

 

– tempo alangui, tout droit sorti de la boite à musique, soporifique à souhait

– proposition décadente et décalée, par l’inimitable yodeleuse australienne Mary Schneider

 

  • Voici une ravissante interprétation de la délicieuse Wiegenlied (berceuse), D. 498 de Schubert

 

  • Extraite des feuilles d’album (op. 124-6) de Robert Schumann cette touchante et naïve mélodie du soir :

 

  • Charles Edward Ives (1874-1954),  compositeur américain composa de nombreuses chansons, parmi lesquelles cette cradle song (berceuse) au rhytme étrange

 

  • Comment compter les moutons : une comptine de Gilles Vigneault pour endormir l’adulte qui veut tout savoir. Sympa  mais cette square-dance pêchue n’est pas forcément propice à l’endormissement.

 

  • Pour le quota de jazz et pour le plaisir, la célèbre “berceuse” de Birdland. Cette chanson composée en 1952 par George Shearing est  dédiée à « Bird » (Charlie Parker) et au Birdland , club de jazz de New York, nommé également en son honneur.

 

 

  • Un repos baroque et bien mérité

Le Sommeil : “Dormons, dormons tous … ah que le repos est doux”

Morphée :  “Régnez divin sommeil, régnez sur tout le monde, répandez vos pavots les plus assoupissants … calmez les soins, charmez les sens, retenez tous les coeurs dans une paix profonde …”

l’air des songes agréables extrait de l’opéra de Lully Atys :

 

 

  • Le violoniste, compositeur et professeur de danse James Scott Skinner fut l’un des producteurs les plus prolifiques du 19ème siècle en ce qui concerne le violon. Sa berceuse pour cordes et piano est une charmante mélodie qui fleure bon les Highlands et incite au délassement.

 

  • Une berceuse napolitaine au goût rétro, curieusement matinée de bossa, où il est question de marins et de sirènes par Pink Martini

 

 

 

 

 

Mais je vois bien que tu ne dors toujours pas …

attention, si tu ne t’endors pas immmmédiatement, maman va se fâââcher !

Extraite de l’opéra de Carlo Menotti The Consul cette berceuse inattendue (et possiblement hormonée) est à déconseiller  aux dormeurs trop sensibles.

Now, good night to you.

P.S. Une sieste musicale pour les petits à la Bibliothèque Municipale de Lyon

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