L’Influx évolue

À partir du printemps 2026, vous découvrirez une nouvelle formule : des sélections thématiques directement intégrées au site web de la BmL, actuellement en cours de refonte.

D’ici-là, afin de préparer cette transformation, L’Influx ne sera plus enrichi de nouveaux articles. Seuls la rubrique des Lu, vu, entendu et L’instrumentarium continueront à être mis à jour. Bien sûr, l’ensemble de nos publications passées reste accessible pour que vous puissiez les redécouvrir à tout moment

Merci pour votre fidélité et à très bientôt sur bm-lyon.fr !

Op:L Bastards "The job" (2001)

- temps de lecture approximatif de 1 minutes 1 min - Modifié le 30/09/2022 par Admin linflux



« The job » serait-il sorti trop tôt ? En 2011, en pleine nostalgie des années 80 et du revival synth wave (les labels Wierd ou Minimal Wave), nul doute que le premier album des finlandais de Op:L Bastards aurait droit à plus d’audience.
Initialement Opel Bastards (le « e » disparut à la suite du mécontentement de la marque allemande d’automobiles), le trio proposait alors une electro-pop un peu funky (la basse sur le titre d’ouverture par exemple) rappelant leur compatriote Jimi Tenor avant son virage jazzy mais aussi les groupes post punk qui n’avait pas hésité à introduire l’électronique dans leurs compositions (The Normal, Cabaret Voltaire…).
Electronique guillerette et cheap sur certains titres (dont l’implacable « Scorpius » ou « Sinulle », « Sagittarius III »), le son des finlandais peut se montrer plus agressif et inquiétant (« Spraybeat », « Deal », « At Tuamo’s », « Jet black man ») à l’instar de Add (N) to X ou même de l’electro crooner punk Alan Vega (« Masqued lover »).

Voir dans le catalogue

Partager cet article