le mois sans alcool : le bilan

- temps de lecture approximatif de 1 minutes 1 min - par scorroyer

Ce début de février est l'occasion de dresser le bilan du "dry january", initié par une trentaine d'associations de santé et d'addictologie.

dryjanuary
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Ce premier “janvier sec”, destiné “à la population en générale et pas aux personnes dépendantes, qui ne peuvent pas s’arrêter comme ça”, comme l’explique Nathalie Latour, déléguée générale de la fédération “Addiction”, était basé sur le modèle anglais, le “dry january”, initié en 2013, et proposé dans 14 pays différents. Il visait à faire une pause, ou au moins à réduire sa consommation d’alcool.

Pour participer, les personnes motivées pouvaient s’inscrire sur le site “dryjanuary.fr” ou relever ce défi librement sans être inscrites.

Les bienfaits pouvant être espérés lors d’une telle action sont : la perte de poids, un meilleur sommeil, un regain d’énergie, une meilleure concentration ainsi qu’une baisse de leur consommation d’alcool durant les mois suivants.

Les organisateurs ont rappelé que la consommation d’alcool pouvait être à l’origine de maladies cardiovasculaires ou de cancers, et qu’elle cause 41 000 morts par an, ce qui en fait la deuxième cause de mortalité évitable après le tabac.

A la fin de la semaine dernière, le bilan dressé a été positif, avec 9 000 inscrits sur le site internet, contre 4 000 en Angleterre pour le lancement en 2013.

Si vous le souhaitez, vous pouvez écouter des témoignages de participants sur  la radio france inter, dans l’émission “le téléphone sonne” du 4 février.

Si relever ce défi vous intéresse, vous pouvez maintenant participer à la “tournée minérale”, son équivalent belge, qui a lieu en février.

Si vous le souhaitez, vous pouvez  également consulter les ouvrages sur le sujet de la bibliothèque municipale de Lyon.

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