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La trève, chérie

scénario Thomas Gosselin ; dessin Isao Moutte

Un album envoûtant, dans lequel la nature n'est pas celle que l'on croyait

Cela commence comme un polar rural où, aux abords du chantier de construction d’une antenne relais,  on découvre progressivement des cadavres, systématiquement accompagnés d’une sorte de brique (la signature d’un tueur en série ?). Mais l’enquête dans laquelle s’investit une jeune gendarme l’entraîne dans une déroutante aventure qui voit les éléments de la nature (animaux, végétaux, minéraux…) manifester une intelligence méfiante qui les oppose aux humains…

 

Ed. L’Employé du Moi

 

Sur une thématique qui n’est pas sans rappeler « The End », de Zep, cet album discret bénéficie d’un traitement graphique en noir et blanc, très « habité », qui ménage le mystère tout en nourrissant une ambiance à la fois inquiétante et contemplative.

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