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L’écologie aux marges : vivre et créer dans les ruines du capitalisme

Igor Babou

Comment vivre dans les ruines du capitalisme ?

Igor Babou en s’appuyant sur l’ethnographie de terrain (en l’occurrence un squat situé à Noisy-le-Sec puis à Pantin) montre qu’une écologie populaire peut laisser espérer d’autre modèles de vivre-ensemble, à la marge d’un système économique exsangue. Ce livre, à l’aide de nombreuses photos de la vie quotidienne dans le squat, illustre que l’écologie libertaire pratiquée par les habitants des quartiers populaires regorge d’initiatives, parfois plus efficaces que l’écologie naturaliste prônée par les institutions.

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2 thoughts on “L’écologie aux marges : vivre et créer dans les ruines du capitalisme”

  1. Frédéric Bauerlé dit :

    L’écologie naturaliste prônée par les institutions ? Il y a très peu d’écologie naturaliste ! Il y a par contre beaucoup de greenwashing et d’économie pseudo-écologique ! C’est pour ces raisons que les problèmes écologiques s’aggravent au fil des décennies !

    1. Sami dit :

      Bonjour.

      Ce qui est entendu par écologie naturaliste dans cet article, c’est une écologie coupée du réel, de l’humain et des problématiques sociétales (et sociales !) actuelles. Il s’agit du naturalisme tel que commenté et critiqué par l’anthropologue Philippe Descola.

      Cordialement

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