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D’ici-là, afin de préparer cette transformation, L’Influx ne sera plus enrichi de nouveaux articles. Seuls la rubrique des Lu, vu, entendu et L’instrumentarium continueront à être mis à jour. Bien sûr, l’ensemble de nos publications passées reste accessible pour que vous puissiez les redécouvrir à tout moment

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Le jour et l’heure

Carole Fives

Une bouleversante ode à la vie et à la mort.

Atteinte d’une maladie neurodégénérative, Edith ne souhaite qu’une chose, partir dans la dignité, entourée de l’amour des siens et de leurs rires. Pour cette ancienne avocate au caractère bien trempé, perdre le contrôle de son corps, voir s’envoler son autonomie et devenir une charge pour son entourage est hors de question. Elle veut partir tant qu’elle est encore elle-même et non pas l’ombre de ce qu’elle a été. La loi française ne l’autorisant pas à recourir au suicide assisté, elle va donc organiser un dernier voyage familial qui les conduira jusqu’à Bâle où elle pourra mourir comme elle l’entend.

C’est ainsi que tous les membres de cette famille se retrouvent à la gare de Lyon Part-Dieu pour embarquer dans un mini bus en direction de la Suisse, pour faire un dernier road-trip comme ils l’ont si souvent fait par le passé. Un moyen pour Edith de partir en fanfare en convoquant les souvenirs des jours heureux passés ensemble. Au fil du récit, alors que la disparition de celle qui est leur mère ou leur épouse se fait de plus en plus proche, chacun commence à sa manière à faire son deuil et se prépare au grand adieu.

Après Tenir jusqu’à l’aube qui abordait la question de charge mentale d’une jeune mère célibataire, Carole Fives s’attaque au sujet d’actualité brûlante qu’est l’euthanasie et nous offre ici un roman incroyablement lumineux et vrai.

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