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Le dernier des siens

Sibylle Grimbert

Comment la rencontre entre un homme et le dernier grand pingouin porté par la terre illustre avec grâce la sixième extinction de masse.

En 1835, au large de l’Islande, Auguste, naturaliste envoyé en mission par le Musée d’histoire naturelle de Lille, assiste au massacre d’une colonie de grands pingouins. Le scientifique recueille l’un des oiseaux et l’installe dans sa maison, sur l’archipel des Orcades où il s’est établi le temps de sa mission.

C’est une longue histoire qui commence entre l’homme et l’oiseau. Le pingouin, nommé Prosp, devient un être central de la vie du naturaliste qui peu à peu prend conscience que son protégé est sans doute le dernier représentant de son espèce. Triomphant de la curiosité et de la méfiance, un profond attachement lie alors Gus à Prosp.

Voici un roman d’aventure à la fois naturaliste et historique qui pose la question de notre rapport aux espèces animales et de la place que nous leur concédons. Avec finesse cette histoire d’un autre siècle ricoche sur l’évidence de l’érosion de la biodiversité de notre monde actuel. 

Voir dans le catalogue de la BML

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