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La cité des nuages et des oiseaux

Anthony Doerr

« Parfois, les choses que nous croyons perdues sont simplement cachées, attendant d’être redécouvertes. ».

La Cité des nuages et des oiseaux est un roman « cathédrale » où les chapitres, les récits créent une onde parvenant avec intensité à un point donné.

On y rencontre :

1453 : Anna brodeuse à Constantinople. Elle subit sa condition d’orpheline.

1453 : Omeir est né avec la lèvre fendue. Depuis toujours il est considéré comme disciple du malin.

2021 : Zeno Ninis homme marqué au fer rouge par son passé.

2021 : Seymour adolescent consterné par l’extinction de la nature par l’homme.

Futur : Konstance vaisseau Beta Oph2

Durant les aventures de ces personnages un seul guide, un seul lien : un texte d’Antoine Diogène auteur imaginaire de la Grèce Antique.

Son rêve devenir autre pour ne plus subir son conditionnement social.

Ce texte devient vital pour toutes ces générations car

« Raconter une histoire est une façon d’étirer le temps. ».

La Cité des nuages et des oiseaux est une ode à la vie, à la liberté, à la littérature et aux métiers du livre (dont celui de bibliothécaire).

La face obscure de l’humanité n’est pas pour autant épargnée (guerre ; terrorisme ; totalitarisme; absence de droits fondamentaux …) mais l’espoir perdure.

La Cité des nuages et des oiseaux :

[XVème siècle ; Futur lointain[ : nulle abscisse simplement une continuation pour aboutir à la plus grande aventure de l’humanité où sa survie est en jeux.

” Je sais pourquoi les bibliothécaires t’ont lu ces vieilles histoires : celui qui les écoute reste en vie aussi longtemps que dure le récit.”

Voir dans le catalogue de la BML

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