Prime Time
Jay Martel
lu, vu, entendu par 6e - le 16/09/2015
Breaking News : de la relation intime entre Terry Pratchett et Neil Gaiman est né aussi un enfant ! Il s’appelle Jay Martel…
La Terre et ses habitants sont, depuis des années, les acteurs involontaires d’un programme de télé-réalité, suivi par toute la galaxie qui s’amuse des péripéties humaines. Mais le spectacle a fini par lasser, obligeant les producteurs à programmer l’ultime épisode : la fin du monde. Seul Perry Bunt découvre la machination et ne dispose que de trois semaines pour sauver la planète.
Mixez The Truman show et Le Guide du routard galactique, arrosez de sauce Gaiman/Pratchett (version De bons présages), donc, et dégustez Prime Time.
Si l’intrigue semble assez convenue -la fin du monde est pour bientôt- et les codes SF sans surprise -des extra-terrestres humanoïdes infiltrés, dirigés par des créatures gluantes- la critique envers le nombrilisme états-unien et le milieu de l’entertainment est assez acide.
Mais surtout, ce premier roman fait rire, beaucoup et souvent !
Et c’est déjà pas mal.
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