L’Influx évolue

À partir du printemps 2026, vous découvrirez une nouvelle formule : des sélections thématiques directement intégrées au site web de la BmL, actuellement en cours de refonte.

D’ici-là, afin de préparer cette transformation, L’Influx ne sera plus enrichi de nouveaux articles. Seuls la rubrique des Lu, vu, entendu et L’instrumentarium continueront à être mis à jour. Bien sûr, l’ensemble de nos publications passées reste accessible pour que vous puissiez les redécouvrir à tout moment

Merci pour votre fidélité et à très bientôt sur bm-lyon.fr !

logo-article

Les questions dangereuses

Lionel Davoust

« L’homme ne peut comprendre l’univers, et tant mieux pour lui, parce que certaines révélations pourraient le rendre fou. »

1637,

« Thésard de la Meulière est un « mancequetaire », un officier au service de son roi, Louis-Charles XXVI. ».

 

Il doit enquêter sur un horrible meurtre à l’ancienne.

« Lacanne, médecin de la reine de France Léonie Lebensfreude de Légatine-Labarre » a été assassiné par balle.

Et cela, personne ne l’accepte car maintenant les combats sont spirituels. Ils causent toujours la mort des perdants mais le sang, les coups sont d’un autre monde.

Les devinettes, les jeux de mots sont d’une violence psychique qui peut terrasser un adversaire ignorant les réponses.

Ici, seuls les combats spirituels sont admis.

 

http://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2017/05/gravure-sur-une-planche-de-chirurgie-Encyclop%C3%A9die.jpg

Les questions dangereuses est un roman style fantasy, humoristique, philosophique, surnaturel, théologique, au style classique d’antan qui se parcourt d’un trait.

 

Ici, les mots ont un pouvoir inégalable. Mais que se cache-t-il derrière tout cela ?

 

Les questions dangereuses est un court roman où se devine l’influence de Lovecraft.

Déjà dans la phrase en présentation – ci-dessus -, nous ne sommes pas loin d’une pensée obsessionnelle de Howard Phillips pour qui « l’être humain ne peut pas comprendre la vie et que l’univers lui est profondément étranger. Ceux qui raisonnent véritablement mettent toujours en péril leur santé mentale ».

 

On trouve, aussi, dans ce livre, le romantisme à la Chateaubriand et la fougue des romans de cape et d’épée selon Alexandre Dumas.

 

A vous de voir.

 

« Ah Batz! Clerc, moine – que dis-je, philosophe! – ce sont là les métiers à haut risque, non le nôtre. ».

 

http://museemedard.inexine.net/sites/museemedard.inexine.net/files/images/Collections/Zoom/anatomie.JPG

Voir dans le catalogue de la BML

Partager

Poster un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *