Dream from the deep well
Brigid Mae Power
lu, vu, entendu par Julie - le 04/08/2023
Un album sobre dans la même veine que « Head above the water » qui l’avait révélé, composé de guitare, de piano, de cordes, mais surtout de la voix douce et pure de Brigid Mae Power.
C’est en 2016 que nous avons entendu pour la première fois Brigid Mae Power, cette Irlandaise, rappelant Laura Veirs, capable tout comme elle, de donner de jolies couleurs pop à ses compositions folk.
Elle revient aujourd’hui avec “dream from the deep well“. Un album co-produit avec son mari Peter Broderick, multi instrumentiste et membre d’Efterklang. Ce nouvel opus nous plonge immédiatement dans un univers éthéré entre indie folk et pop de chambre.
Musicalement, on peut se laisser surprendre par “Counting down” qui rappelle indéniablement “Knocking’s on heaven door” de Bob Dylan ouencore par “I must have been blind” de Tim Buckley qu’elle reprend ici avec une infinie douceur.
On remarquera aussi que les racines irlandaises de Brigid sont très présentes, dans les sonorités, mais aussi dans les morceaux choisis puisque l’album débute par “I know who is sick” et se termine par “Down by the Glensideen” deux titres issus de l’histoire musicale traditionnelle irlandaise.
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