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Équatoria

Diaz Canales

« Je ne vois aucun intérêt à devenir un aventurier de papier ! »

Equatoria est une réussite.

 

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Juan Diaz Canales et Ruben Pellejero connaissent bien l’univers du marin légendaire.

Dans ce nouveau tome des aventures de Corto Maltese, l’aventure commence à Venise, quoi de plus normal.

Corto se met en quête d’un miroir légendaire, celui du prêtre Jean, un mystérieux objet ésotérique rapporté des croisades.

Au fur et à mesure des événements Corto passe par Alexandrie et finira en Afrique Noire, très loin de son but initial.

Corto est pour toujours un homme aux semelles de vent. La rencontre des trois femmes vont l’entrainer sur des chemins divers : « Aïda, journaliste entreprenante, Ferida, exploratrice en quête de son père disparu, et Afra, ancienne esclave ». Et comme cela va de soi, certains personnages historiques réels vont apparaitre dans le récit.

Nous n’en dirons pas plus.

 

 

Les dessins sont emblématiques et le scénario tout en suggestions poétiques, littéraires, humaines et aventureuses aux multiples rebondissements.

Cette bande dessinée n’est pas un hommage, c’est simplement une belle et nouvelle aventure de Corto.

 

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« Equatoria se situe en 1911, soit entre La jeunesse du personnage et La ballade de la mer salée, soit, par conséquent, avant Sous le soleil de minuit. Comme a pu le faire Pratt en son temps, Juan Díaz Canales et Rubén Pellejero jouent donc avec la chronologie du héros, ce qui leur permet de combler en partie une période de sa vie sur laquelle nous ne savions pas grand chose jusqu’à présent. »

 

 

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