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Questions de langue(s)

- Modifié le 05/03/2020 Léa G

Grammairiens et linguistes, l’étudient et en fixent les règles de bon usage.

Nous autres, en revanche, nous approprions la langue pour un usage quotidien, avec de nombreuses variantes : alors déjà, la langue devient plurielle et renouvelée ; vivante.

Certains auteurs, eux, vont même jusqu’à s’amuser de la langue et s’émanciper du « bon usage »… ce qui donne des textes flamboyants, libres et révoltés.

C’est le cas dernièrement de Jacques Roubaud et ses Tridents (des poèmes composés exclusivement de trois vers et treize syllabes) qui viennent bousculer les codes de la langue par la simple contrainte, ou bien de l’auteure Anne Serre qui, elle, va jusqu’à inventer une langue dans son dernier ouvrage, Grande tiqueté.

Nous voilà donc sauvés : les écrivains arrivent encore à nous prouver que la langue n’a de limites que celles qu’on lui donne, et que fort heureusement, elle n’a pas fini de nous surprendre.

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