L’Influx évolue

À partir du printemps 2026, vous découvrirez une nouvelle formule : des sélections thématiques directement intégrées au site web de la BmL, actuellement en cours de refonte.

D’ici-là, afin de préparer cette transformation, L’Influx ne sera plus enrichi de nouveaux articles. Seuls la rubrique des Lu, vu, entendu et L’instrumentarium continueront à être mis à jour. Bien sûr, l’ensemble de nos publications passées reste accessible pour que vous puissiez les redécouvrir à tout moment

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Cela devrait être tous les jours mais…

- Paquita Lefranc

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Carte de désavoeux de Sandrine Deloffre

Aujourd’hui, c’est la journée internationale des droits des femmes. Et non pas la journée de la femme… Aujourd’hui ce devrait être une journée parmi 365 autres où les femmes auraient les mêmes droits que les hommes. Et chaque 8 mars, cette journée internationale rappelle aux femmes qu’elles n’ont pas les mêmes droits.

Pourtant sans elles, Frankenstein n’aurait pas inspiré les cinéastes et auteurs de BD depuis plus d’un siècle, Robert Redford n’aurait pas joué dans Out of Africa, nul n’attendrait fébrilement la saison 3 de La servante écarlate, Harry Potter n’existerait pas (d’ailleurs sans Hermione, Harry aurait connu un destin funeste dès le tome 1) et King Kong théorie ne figurerait pas comme incontournable d’une bibliographie féministe.

Et pourtant, J.K.Rowling aujourd’hui recourt encore à un pseudonyme masculin, Robert Galbraith, pour écrire ses romans policiers tout comme George Eliot et George Sand ont dû le faire en leur temps pour être crédibles auprès des éditeurs et des lecteurs.

Merci à Sandrine Deloffre pour le visuel (et de me faire rire au quotidien).

 

 

 

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