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La mascotte de l’été

- mj

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Tout le monde connaît la mascotte de l’été 2019, la charmante poulette coquette de la coupe de monde féminine, de son petit nom Ettie. D’autres vous diront que LA mascotte de l’été c’est le flamand rose. Vous savez celui que l’on croise partout ces derniers temps, en version gonflable et rose fluo la plupart du temps.

Car oui avoir une mascotte fait du bien. On mettra de côté l’aspect commercial de la chose pour ne garder que le côté convivial et voir comment un simple objet peut fédérer plusieurs personnes et nous plonger dans une ambiance estivale et festive.

Mais pourquoi parle-t-on de mascotte dans une brève de littérature me direz-vous ? Et bien je vous réponds qu’il y a une bonne raison à cela, car saviez-vous que nous devons le terme mascotte à Frédéric Mistral ? En effet l’écrivain et lexicographe provençal, prix Nobel de littérature en 1904, fut le premier à introduire ce terme dans la langue française à la fin du XIXe siècle. Dans le midi, la « mascotto » étant la « sorcière » ou la « fée », celle capable d’influencer l’avenir. Les sportifs assez superstitieux ont donc rapidement recherché la protection d’une mascotte.

Bref, quelle que soit votre mascotte cet été, prenez du temps pour vous et savourez l’été. Où que vous soyez, un livre dans la poche ou dans la tablette vous vaudra un bon dépaysement.

Quelques suggestions :

Partez-en en camping-car avec Ivan Jablonka. Tout en gardant son regard de sociologue, l’auteur livre ses souvenirs de vacances à bord du combi Volkswagen familial dans la France des années 80.

Goûtez à la puissance de l’océan avec William Finnegan, Jours barbares : une vie de surf. Une déferlante d’émotions et de découvertes. 600 pages dont on se sépare avec un léger vague à l’âme.

Terminons cette brève sur un classique qui évoque parfaitement la langueur des vacances : Bonjour tristesse de Françoise Sagan.

Bon début d’été !

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