
Captagonia
Pierre Olivier
lu, vu, entendu par EM - le 14/05/2025
Un roman d'espionnage profond qui tisse une toile tentaculaire entre Orient et Occident.
Le “Captagon” fait rage, la drogue des quartiers d’affaires berlinois aux gamers survitaminés, contamine. Dans sa production de nombreux composants toxiques induit une formule volontairement mortelle. Les consommateurs témoignent d’hallucinations, accélérations du rythme cardiaque augmentation de la pression sanguine, et les décès se multiplient.

Né en Syrie, le trafic du Captagon cache des ressorts géopolitiques d’envergure menaçant l’Europe.
Ancienne policière franco-palestinienne, Maïssa Thabet se remet d’un attentat où elle fut blessée. Débauchée par le ministère de l’intérieur, elle s’avère la parfaite agent parlant couramment l’arabe pour être envoyé en Jordanie et aider au démantèlement du réseau.
En entrant dans les services secrets, elle s’immerge dans un monde où la trahison est monnaie courante.
Entre Brest, Paris, Dubaï et Damas, Maïssa se débat avec des enjeux géopolitiques qui la dépassent. Captagonia propose un mélange haletant entre roman d’espionnage et thriller.
Prix du roman d’espionnage 2025 décerné par l’amicale des anciens des services spéciaux.

Pierre Pouchairet est ancien commandant de la police nationale. Avec son quatrième roman, Mortels Trafics, publié en 2016, il est lauréat du Prix du Quai des Orfèvres.
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