Grand Projet de Ville : la Duchère nouvelle se construit

Rénovation urbaine

- temps de lecture approximatif de 18 minutes 18 min - Modifié le 17/06/2016 par ameyer

Le 4 novembre 2008, La Duchère se présentait au forum des projets urbains. Depuis 2003, ce quartier s'inscrit dans un Grand Projet de Ville qui devrait à terme donner une nouvelle dynamique à un ensemble urbain en perte d'attractivité. La Duchère arrive désormais à mi-parcours : avec plus de 800 logements démolis et des chantiers de construction qui poussent comme des champignons, la transformation urbaine prend forme et de nouveaux habitants prennent peu a peu possession des lieux...

La Duchère en 1986
La Duchère en 1986 Marcos Quinones, fonds Lyon Figaro, BML

Sommaire

L’habitat, un volet essentiel du Grand Projet de Ville
La Duchère a aussi son patrimoine
Évènements

La Duchère : ce quartier juché sur la « troisième colline lyonnaise », construit dans les années soixante, souffre des maux des grands ensembles : quartier isolé, grande barres d’immeubles, habitants en prise à des difficultés socio-économiques… de 20 000 habitants en 1968, la population tombe à 12400 au recensement de 1999. Le Grand Projet de Ville déployé sur 2003-2012 se veut un projet global pour la revalorisation du quartier. Il comprend un volet social et économique aussi bien qu’urbain. Après nous être intéressés au passage de la Duchère en Zone Franche Urbaine lors d’un précédent point d’actu, Franche Duchère, nous nous penchons cette fois sur la rénovation urbaine du quartier et plus particulièrement le vaste programme de démolitions – reconstructions qui vise à remodeler l’offre immobilière de la Duchère. L’occasion aussi de se promener dans le quartier et de faire connaissance avec un patrimoine duchérois parfois méconnu.


L’habitat, un volet essentiel du Grand Projet de Ville

Le Grand Projet de Ville prévoit un renouvellement ambitieux de l’offre de logements, qui se traduit par la destruction d’une partie des grandes barres qui obstruent le plateau et leur remplacement par un habitat collectif à taille humaine (7 étages maximum), ainsi que par un important travail de rénovation et de restructuration du bâti existant. L’un des objectifs de ce projet est d’augmenter la mixité sociale à la Duchère.

La Duchère en 1986. Marcos Quinones, fonds Lyon Figaro, BML.

  • Le logement social à la Duchère : renforcer la mixité

On ne peut aborder la question de l’habitat à la Duchère sans se pencher sur le logement social. En effet, la Duchère d’avant le Grand Projet de Ville comptait 80% de logements locatifs sociaux, alors que la moyenne sur Lyon est de l’ordre de 18%. Une des solutions adoptées pour redynamiser le quartier en perte d’attractivité est de rééquilibrer la part du logement social, qui doit être ramenée de 80% à 60% au terme du projet en 2012.
Trois des quatre bailleurs sociaux présents dans le quartier sont concernés par les démolitions / restructurations : l’Opac du Grand Lyon, qui possède plus de 30 % du parc social à la Duchère, l’Opac du Rhône (25%) dont la barre des 1000 sera détruite et la SACVL (23%) dont la barre 260 a déjà disparu.
– 1600 logements sociaux seront démolis d’ici 2012 (860 ont déjà été démolis). Afin de conserver le nombre de logements sociaux sur l’agglomération, la reconstitution du parc se fera à 30% sur le 9e arrondissement dont la Duchère et à 70% sur le reste de Lyon (hors 8e)
– Les 1600 logements qui seront reconstruits à la Duchère offriront un habitat diversifié, dont les deux tiers appartiendront au parc privé (en location et en accession à la propriété).

@Lyon – la Duchère : la reconstruction mise sur la promotion privée, in Le Moniteur, n° spécial aménagement d’avril 2005, p. 56-57
@Le logement populaire et social en Lyonnais, 1848-2000, Christian LEGRAND, éd Aux Arts, 2002

  • Démolir , restructurer, rénover : des choix diversifiés

L’amélioration de l’offre de logements se décline selon différentes stratégies, présentées ici à travers quelques projets emblématiques.

Faire place nette pour reconstruire

Solution la plus radicale et la plus impressionnante, la destruction pure et simple a été choisie pour plusieurs barres du plateau : la 260, démolie par grignotage en 2005 ainsi que les barres 210, 220 et 230 qui constituent l’emblématique “barre des 1000”.

La Barre des 1000

La barre des mille, emblème du gigantisme architectural qui domine le Plateau , va donc disparaître du paysage duchérois. Cet ensemble de trois immeubles de 330 logements sociaux, propriété de l’Opac du Rhône, avait été pensé par ses concepteurs comme un trait d’union entre les différents sous-quartiers. Il est aujourd’hui perçu comme une barrière qui coupe notamment la Duchère de son Vallon. La barre 210 a été détruite le 27 octobre 2005 par foudroyage à l’explosif. La barre 220 suivra le même chemin à l’automne 2009, la 230 après 2010. La place libérée permettra la construction de plusieurs îlots d’habitation, essentiellement en accession à la propriété, et d’une résidence étudiante.

A noter, la barre 210 fait l’objet d’une démarche artistique originale qui vise à accompagner culturellement la démolition, étape parfois mal vécue par des habitants attachés à leur quartier. Ainsi depuis 2006 des performances artistiques se déroulent au sein de l’immeuble, dont la prochaine en date du 7 décembre, baptisée Parabole, consistera à réaliser collectivement une immense fresque sur la façade avant une mise en son et en lumière. Ces animations s’inscrivent dans le cadre du projet Sputnik, développé par La Hors De pour accompagner la mutation du quartier.

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Démolition de la Barre des 200, le 29/10/2003. Marcos Quinones, fonds Lyon Figaro, BML

La barre 200 ouvre le bal. Immense barre surnommée “Chicago”, sa destruction partielle le 29 octobre 2003 marque les esprits. Les allées 206 à 209 partent en fumée sous le regard des habitants et des journalistes, soit 162 logements sur 324. C’est aussi le premier chantier de reconstruction du quartier, qui s’achève en 2005 avec le réaménagement des logements restants et la reconstitution d’un nouveau pignon offrant 30 appartements neufs.

@ Voir le reportage sur la Démolition d’une barre d’immeuble de la Duchère à Lyon, 19-20, édition nationale du 29/10/2003 sur France 3 (Archives INA)
@ Télécharger le Dossier de presse sur le site de l’OPAC du Grand Lyon

La barre 320 de la SACVL, dans le quartier Balmont, se verra amputée progressivement de ses quatre derniers étages. Des maisons en duplex seront construites sur le toit, les étages inférieurs entièrement remodelés et un immeuble bas viendra habiller le pignon sud de la barre, en accueillant des commerces en rez-de-chaussée. Les travaux concernent actuellement les allées 320 et 321, puis s’étendront à chaque allée pour une finalisation en 2012. Les barres 420 et 430, propriétés de l’Opac du Grand Lyon dans le quartier de la Sauvegarde, seront quant à elles scindées en quatre petites résidences grâce à la démolition de leurs allées centrales (îlot 15).

 

Barre 320 (Balmont)

Reconstruction : la Duchère dévoile peu à peu son nouveau visage

Avec les nouvelles constructions, la Duchère retrouve peu à peu une architecture à taille humaine. Fini les grands paquebots d’habitations qui s’étendent à perte de vue, la reconstruction a été pensée sous forme d’îlots, avec des bâtiments ne dépassant pas sept étages. Terrasses, balcons et espaces verts sont privilégiés. La majorité des logements neufs répondront à des normes de Haute Qualité Environnementale. 21 projets opérationnels doivent être menés à bien d’ici 2010, fin de la première phase de reconstruction. Cela représente 1062 logements neufs dont 280 logements sociaux et 143 logements étudiants.

@ Découvrir le Programme de reconstruction de la première phase du projet, avec la description des projets les plus avancés

Résidence étudiante et Carré Anaïs

Carré Anaïs 2008 : bilan à mi-parcours

Malgré la crise immobilière, l’aménagement urbain suit son cours. Il a fallu reloger plus de mille familles sur le quartier, la ville et l’agglomération. Les premiers immeubles neufs ont été livrés et sont déjà habités. La résidence Les Rives de Champagne, immeuble mixte (alliant parc privé et social) construit à la Sauvegarde (îlot 10) a ouvert le bal fin 2007. Un an plus tard, c’est au tour de la résidence étudiante de Nexity Georges V et du Carré Anaïs de Bouwfords Marignan d’accueillir les premiers habitants. Sur les 346 logements privés mis en vente, 219 avaient été vendus début novembre, dont 15% à des Duchérois.
L’OPAC du Rhône vient de lancer le chantier de construction de l’îlot 14, soit un ensemble immobilier de 79 logements sociaux qui abritera en rez-de-chaussée le nouveau magasin ATAC. Et devrait commencer en décembre la construction l’îlot 17 sur la future place Abbé Pierre qui contiendra, outre 45 logements, la Maison du Département du Rhône et… la nouvelle bibliothèque municipale !


@Présentation de l’îlot 17 sur le site de l’OPAC du Rhône
La Duchère : histoire d’une mutation annoncée, article paru dans le Progrès éd. Lyon du 11 novembre 2008 qui fait le point sur l’avancée du Grand projet de Ville de la Duchère.

Place centrale et îlot 17 (GPV Lyon La Duchère)

Pour en savoir plus :

@ Télécharger le Planning du projet (carte) mis en jour en juillet 2008 sur le site du GPV
@ Consulter les dossiers et communiqués de presse du Grand Projet de Ville sur le site du GPV
@ Consulter le forum Skysrapercity, où quelques passionnés suivent avec attention le projet Lyon La Duchère, photographies à l’appui
Lyon La Duchère, projet : un quartier, un projet, un nouvel avenir , Mission Lyon La Duchère, 2007. Plaquette de présentation du Grand Projet de Ville, consultable à la bibliothèque de la Part-Dieu ou téléchargeable ici

La Duchère a aussi son patrimoine

Donner une nouvelle vie à la Duchère sans faire table rase du passé, tel est donc le parti pris des concepteurs de ce projet de renouvellement urbain. Car la Duchère possède, elle aussi, un patrimoine architectural à préserver et à valoriser.

  • Patrimoine du XXe siècle

Si l’architecture de “barres” est aujourd’hui décriée, il n’en existe pas moins un patrimoine architectural duchérois reconnu : plusieurs bâtiments ont ainsi été labellisés Patrimoine du XXe siècle. Il s’agit d’une distinction du Ministère de la Culture et de la Communication instituée en 1999 et attribuée à des constructions et ensembles urbains majeurs du XXe siècle construits entre 1900 et 1975.

Tour panoramique. Marcos Quinones, 1992, fonds Lyon Figaro, BML

La Tour panoramique. Construite entre 1969 et 1972 selon les plans de François-Régis Cottin, elle était supposée équilibrer les volumes allongés occupant le Plateau. Sa structure en étoile et ses balcons triangulaires lui ont valu le surnom de “râpe à fromage” ! Cette tour de 60 mètres de haut et de 26 étages, avantageusement placée au sommet de la colline de la Duchère, est classée Immeuble de Grand Hauteur (IGH) et fait l’objet d’un plan de sauvegarde de 3,5 millions d’euros sur 3 ans, lancé en mars 2005. Détail amusant : au centre de la Tour se trouve toujours la grue qui a permis sa construction.

La résidence Les Erables. Elle a été conçue par l’architecte Jean Dubuisson en 1967, inspiré par la cité radieuse de Le Corbusier. La résidence fait l’objet d’une Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat (OPAH) afin de remettre en état et de valoriser le bâtiment. A noter : le hall 321 est agrémenté de deux reliefs de Jean Amado et le jardin est orné d’une sculpture en acier de Philolaos.

Eglise de Balmont, puis Ciné Duchère. C. Essertel, fonds Lyon Figaro, BML.

Notre-Dame de Balmont. Avec sa flèche de béton penchée à 45° et sa structure à demi enterrée, l’église imaginée par Pierre Genton frappe par sa modernité. Construite entre 1963 et 1965, elle a été désaffectée en 1995 et abrite aujourd’hui Ciné Duchère. Anecdote : ses murs contiennent des pavés offerts par Louis Pradel alors qu’on les retirait des rues de Lyon pour les remplacer par de l’asphalte.

L’église du plateau, Notre Dame du Monde Entier. Construite face à la tour panoramique en 1968, elle a été pensée par le même architecte, François-Régis Cottin.
Nichée dans un écrin de verdure, elle camoufle ses grandes baies vitrées derrière de hauts talus, laissant entrevoir un toit qui évoque une pagode.

Château d’eau, Marcos Quinones, fonds Lyon Figaro, BML

Le château d’eau. François Régis Cottin et Nicolas Esquillan (ingénieur) ont élaboré ce réservoir de 40 mètres de haut et d’une contenance de 2000 m², qui stocke l’eau potable en provenance de Crépieux-Charmy. Il a été mis en service en 1967.

Un siècle d’architecture contemporaine : Lyon et alentours, plan -guide pour des promenades architecturales, Robert DUSSUD, Maison de l’architecture en Rhône-Alpes, 2004
@ Découvrir les édifices labellisés Patrimoine du XXe siècle en Rhône-Alpes sur le site web de la DRAC
@Parcours de la Duchère, réalisé par le CAUE du Rhône à l’occasion d’une exposition sur l’architecte Maurice Novarina, un des fondateurs de la Duchère.

  • Vestiges d’antan

Au-delà des créations du XXe siècle, subsistent encore à la Duchère quelques traces d’un passé plus lointain, alors que la colline abritait essentiellement des champs et quelques domaines. Malheureusement ce patrimoine a été en grande partie détruit lors de la création de la cité dans les années 60.

Le Château de la Duchère, fonds Sylvestre BML.

Le Château de la Duchère. Bâti au 14e siècle, son premier possesseur connu fut Bernard de Varey. Le château a été reconstruit au 18e siècle par François Clapisson, avocat du roi au présidial de Lyon. En 1943, il est vendu par ses propriétaires à une société qui en fit la location (il abrita une colonie de vacances en 1953). Laissé à l’abandon dans les années 60, il est détruit en 1972, contre l’avis de F.-R. Cottin. “Tant de peine pour amasser, et puis mourir et tout laisser…” : telle était l’inscription gravée sur l’une de ses portes.
Aujourd’hui ne restent du château que les vestiges d’un lavoir datant de 1661, “le dernier lavoir de Lyon” d’après René Chevallier, historien et ancien habitant de la Duchère.

Lavoir du château de la Duchère, (photo Michel Matray)

Cet imposant lavoir de 12 m de long sur 5 m de large était approvisionné en eau par le ruisseau des Gorges. Il a fait l’objet d’une étude de rénovation par l’Association de Sauvegarde des lavoirs des Monts d’Or. Le réaménagement prévu du parc du Vallon (voir plus loin) lui offrira-t-il une nouvelle vie ?

@ Lire la Notice sur le château de la Duchère, écrite par Paul DE VARAX dans La Revue du lyonnais n°14, 1872

 

Le fort de Balmont. Construit entre 1844 et 1851, le fort de la Duchère s’intégrait dans la première ceinture fortifiée lyonnaise mise en place au XIXe siècle. De forme classique avec ses cinq bastions en étoile, il rappelle les forts construits par Vauban au siècle précédent. En 1944, il fut la scène de tragiques évènements : 39 résistants furent fusillés par la Gestapo dans le fossé du fort. Une plaque commémorative leur rend hommage. En 1957, le fort est désaffecté. Il est utilisé par l’armée française comme centre de recrutement puis accueille en 1960 des rapatriés d’Algérie, en attendant que les nouveaux logements soient livrés. Le site est cédé par l’armée lors de la création de la cité, ce qui a permis d’en faire un centre sportif. Le fort a donc été détruit mais il reste des morceaux des bastions qui habillaient les remparts. Il est envisagé de les restaurer et de les rendre accessibles.
[actu]@[actu] Télécharger Les fortifications, la métropole et l’héritage de son passé, fiche visite réalisée par le Grand Lyon à l’occasion des journées du patrimoine
Les défenses de Lyon : enceintes et fortifications, François DALLEMAGNE, Editions lyonnaises d’art et d’histoire

Vue aérienne du fort de la Duchère

Le Temple d’Amour. Edifice circulaire d’inspiration antique, il fut construit au 19e siècle pour orner le jardin de l’ancienne propriété des Guironnet, en haut de Balmont. Les promeneurs peuvent aujourd’hui encore s’abriter sous sa voûte de pierre grâce au travail de restauration mené en 1990. Il est régulièrement utilisé pour des concerts et rencontres culturelles.

@ Télécharger A la découverte du patrimoine architectural du XXe siècle et de l’histoire du quartier, document réalisé à l’occasion des journées du patrimoine 2007
@Et si on (re)découvrait la Duchère ?, dossier publié dans le journal Ville en vue n°16 (p. 5-7)

  • Un patrimoine vert à valoriser

La Duchère, c’est aussi l’un des quartiers les plus verts de Lyon. Et pour cause : avant la construction de la cité, la colline était essentiellement composée de prés, de vergers et de quelques propriétés installées sur les balmes. Les concepteurs de la cité avaient bien conscience de l’intérêt de ce patrimoine et ont conservé autant d’espaces verts que possible. Grâce aux paysagistes Ingrid et Michel Bourne, on peut se promener dans le bois de Balmont (et y découvrir le Temple d’Amour) et sillonner le vallon qui sépare la Duchère d’Ecully, le parc le plus secret de Lyon.
Un sentier pédestre balisé de 6 km a été mis en place en 2006 afin de valoriser les différents milieux naturels présents à la Duchère. Il est ponctué de 40 panneaux explicatifs qui permettent d’en découvrir la faune et la flore.

Le Parc du Vallon. Coulée verte sur le flan ouest du quartier, ce parc méconnu s’étend sur 8 hectares entre la Duchère et Ecully. Il est traversé par le ruisseau des Gorges, aujourd’hui canalisé et enterré, qui alimentait autrefois deux étangs et le lavoir du château. Le projet de réaménagement du parc prévoit notamment de le remettre à ciel ouvert. La valorisation du parc du Vallon s’inscrit dans le cadre du projet de rénovation urbaine de la Duchère, dont il est un des enjeux majeurs. En 2006, trois équipes de paysagistes ont été missionnées pour proposer des axes d’aménagement en s’appuyant sur les propositions des habitants. C’est le projet de l’agence “Ilex Paysage et Urbanisme” qui a remporté les suffrages. Le lancement des travaux est prévu mi 2009 pour une livraison en 2011-2012.

Les Carnets du projet n°1 présente les trois propositions d’aménagement du parc du Vallon
@La Duchère se met au Vert, sur le site keskiscpass.com
Voir la nature au coeur de Lyon, Yves VERILHAC, 1996
– 15 itinéraires pédestres pour découvrir la nature au cœur de la ville, dont une balade sur le sentier du ruisseau des gorges

Vallon (GPV Lyon la Duchère)

Bibliographie générale

Ville en vue : le journal du projet Lyon La Duchère , Mission Lyon la Duchère, 2004-
– L’outil incontournable pour suivre l’avancée du projet et découvrir le patrimoine duchérois

La Duchère, 40 ans, Annie SCHWARTZ, AUDACCE, 2003

Lyon, connaître son arrondissement : le 9e, Jean PELLETIER, Ed. lyonnaises d’art et d’histoire, 2007

Guide Rhône-Alpes de l’architecture du XXe siècle, 1914-2003, Bernard MARREY, Picard, 2004

L’architecture à Lyon. 02. Lyon et le grand Lyon de 1800 à 2000, Jacques BEAUFORT, Ed. J.-P. Huguet, 2001

Articles de presse :

Base des Dossiers de presse Rhône-Alpes (références d’articles de presse de 1993 à nos jours). Les articles numérisés jusqu’en 2004 sont consultables à partir des postes informatiques de la Bibliothèque municipale de Lyon

Europresse (articles du Progrès de 1997 à nos jours). Base de données consultable à partir des postes informatiques de la Bibliothèque

Evénements

Ne manquez pas la réalisation de la grande fresque colorée sur la façade de la barre 220, dimanche 7 décembre entre 18h et 19h. Elle sera suivie d’une mise en son et en lumière de l’immeuble et d’un repas de quartier.

Balades urbaines : le Musée Gadagne propose une balade guidée de la Duchère sur le thème De l’urbanisme de barre à l’urbanisme durable, le 21 décembre 2008. Renseignements et réservation auprès de la mairie de Lyon au 04 72 10 30 30

Barre 200 restructurée et la Résidence Edith (ilot 12A) en cours de construction

A découvrir toute l’année : le Musée des sapeurs-pompiers de Lyon. Situé au centre d’intervention n°4 des sapeurs pompiers de Lyon, 358 rue de Champagne, il expose des collections de casques, véhicules, pompes… Il est visitable gratuitement les jours ouvrables de 9 h. à 12 h. et de 14 h. à 17 h. Des visites guidées peuvent être organisées sur demande.

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