Les vaisseaux d’Omale

Genefort, Laurent

lu, vu, entendu par FK - le 23/08/2017

« Comprendre, c’est coloniser l’espace des pensées »

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Les vaisseaux d’Omale est un nouvel épisode de la saga d’Omale. Peut-être le dernier, mais cet univers est si vaste que le mot fin ne signifie rien.

Ce tome promène le lecteur dans l’aire des Hodgqins. L’urbanisme est vivant, au sens propre du terme. Les Afims sont la base de tout bâtiment.

Les Afims désignent les édifices que font pousser les Hodgqins, à partir de la résine sécrétée par une plante aux couleurs vives du même nom.

Et si les trois Reh sont sur le territoire Hodgqins dans ce tome, c’est qu’ils ont besoin de leurs compétences respectives pour concrétiser une avancée scientifique Hodgqin : cultiver un vaisseau spatial à partir d’un Afim.

Car un grand rendez-vous avec les Aezir a été pris.

La quête commune : mettre en lumière le secret des Vangks.

Et c’est bien de lumière qu’il s’agit dans cette histoire.

Les obscurantismes religieux, politique, ethnique planent tels un dragon de l’ignorance sabotant la réalité.

Dans les vaisseaux d’Omale, Laurent Genefort déploie son art pour mettre en avant des quêtes multiples : l’entente entre les Rehs, l’obscurantisme, l’inégalité mâle-femelle …