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Joie

Clara Magnani

Mature love

Rome. Gigi, 70 ans, cinéaste, meurt sur sa terrasse, foudroyé par une crise cardiaque. C’est sa fille Elvira, étudiante, qui, ayant cracké la boîte mail de son père, découvrira la liaison que ce dernier entretenait avec Clara. C’est donc une histoire d’amour à rebours qui se révèle. On y parle de cinéma, de communisme à l’italienne, de voyages en Europe, mais surtout d’adultère sans engagement – le mature love – de bonheur, et bien sûr, de joie.

Un supplément d’intrigue s’ajoute à la narration lorsque l’on réalise que le nom de la narratrice principale est également le nom de l’auteure. Le mystère s’épaissira encore puisque l’on ne sait rien de cette dernière, à la Elena Ferrante.

On ne se le cachera pas, nous sommes entre gens aisés, même si les protagonistes voyagent via les compagnies low cost (!). On pourra aussi trouver un côté agaçant aux expressions passant d’une langue à l’autre, italien, français, anglais.

Un joli premier roman malgré tout !

Voir dans le catalogue de la BML

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