“Femmes de réconfort” : tensions entre Séoul et Tokyo

- Silo moderne

(Crédit : JUNG YEON-JE / AFP).

Les relations entre la Corée du sud et le Japon sont plus que tendues :  en dépit d’un accord en 2015, des militants sud-coréens ont installé à Busan (Corée du sud) une statue à la mémoire des esclaves sexuelles de l’armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale, ravivant ainsi un contentieux historique. Le 6 janvier 2017, le premier ministre japonais Shinzo Abe a ainsi rappelé son ambassadeur à Séoul en signe de protestation.

“Femmes de réconfort” est le terme qui désigne les nombreuses femmes coréennes (mais aussi chinoises) enrôlées de force dans les maisons de prostitution militaires japonaises – maisons de réconfort – pendant la Seconde Guerre mondiale. Nombre de Sud-Coréens y voient le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945.

Pour mieux comprendre cette actualité qui fait appel à un aspect méconnu de l’histoire, rien de tel que quelques lectures :

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